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M. de Buffon mettait pour écrire ses plus belles manchettes. Le reste devait être à l’avenant… Il a laissé un mot célèbre : « Le style, c’est l’homme. » Il n’a laissé peut-être que cela. Diderot a chanté sa vieille robe de chambre salie, souillée, toute tachée de l’encre de sa plume qu’il essuyait à…
M. de Buffon mettait pour écrire ses plus belles manchettes. Le reste devait être à l’avenant… Il a laissé un mot célèbre : « Le style, c’est l’homme. » Il n’a laissé peut-être que cela.
Diderot a chanté sa vieille robe de chambre salie, souillée, toute tachée de l’encre de sa plume qu’il essuyait à même. C’était un peu excessif. Il nous a donné de jolies pages, comme un bon, un robuste ouvrier de la pensée qu’il était.
Croyez-vous à l’influence du nom chez l’écrivain, soit pour lui-même, soit dans ses créations ? Balzac y croyait pour ses personnages. A voir son œuvre lapidaire, il avait quelque raison. Admettons que son génie y est pour quelque chose – pour ne pas trop encourager ceux qui cherche ce genre d’originalité.
Poids | 1 livres |
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